Adieu l’homo sapiens. Vive l’homo sharus!

Partager des choses au lieu de les posséder est de plus en plus populaire. En conséquence, l’homo sharus se répand actuellement de manière fulgurante à travers la Suisse. Son habitat préféré est le portail clients de Mobility, où il peut désormais trouver et partager, outre des voitures, des offres de vélos, de camping-cars et même des postes de travail.

18.08.2023

  • Lifestyle

Pendant longtemps, tout s’est bien passé pour l’homo sapiens. Au fil des millénaires, il s’est adapté avec succès à différents environnements et conditions de vie, a réalisé des progrès remarquables dans les domaines de la science, de la médecine et de la technique et s’est aménagé une vie bien agréable avec des habitations chauffées, un accès Internet à haut débit et au moins quatre semaines de vacances par an.

Pas assez sapiens

Jusque-là, tout va bien. Pourtant, il apparaît de plus en plus clairement que l’homo sapiens n’est pas assez sapiens (raisonnable, sage) pour connaître un véritable succès. Il se prive de ses propres moyens de subsistance et semble être pris au piège d’un perpétuel «plus haut, plus vite, plus loin, plus». C’est pourquoi les voix critiques se font de plus en plus fortes et nombreuses, qui pensent que l’homo sapiens est depuis longtemps en tournée d’adieu, avec pour seules questions ouvertes la durée de cette tournée et le moment où l’homo sapiens quittera définitivement la scène sur laquelle il est apparu il y a environ 300’000 ans.

Confiance dans l’évolution

Bien sûr, tout le monde n’est pas aussi pessimiste. Les optimistes lient généralement leurs espoirs à des solutions techniques qui, au moins depuis la révolution industrielle, sont devenues la marque de fabrique de l’homo sapiens. En revanche, l’évolution n’est que rarement, voire jamais, discutée en tant que solution. Trop lente, pas assez radicale. Pourtant, au cours des 3,5 milliards d’années passées, le principe éprouvé de la mutation, de la recombinaison et de la sélection a permis à de nombreuses créations étonnantes de voir le jour. Pourquoi pas l’homo sharus, l’homme qui partage?

De l’outsider au précurseur

L’homo sharus a compris que le partage est plus durable et rend plus heureux que la possession. Au lieu d’avoir plus de choses, il préfère avoir plus de temps et traverser la vie avec moins de soucis et de charges. Les précurseurs de l’homo sharus étaient déjà installés en Suisse: ils circulaient dans des voitures rouges et beaucoup de gens se moquaient d’eux. Aujourd’hui, la situation est bien différente. L’homo sharus est largement reconnu par la société et est devenu un précurseur du mouvement de durabilité. L’offre de partage s’est développée en conséquence. Aujourd’hui, on partage entre autres des voitures, des vélos, des scooters électriques, des appartements, des postes de travail et parfois même des partenaires amoureux.

Partager encore davantage avec Mobility

Pour que l’homo sharus ne perde pas l’envie de partager devant tant d’offres de partage, Mobility réunit désormais de nombreuses offres. Ainsi, les clientes et clientsmobilityMEMBER&mobilityPLUSpeuvent bénéficier de rabais attrayants pour l’utilisation d’autres possibilités de partage auprès des entreprisesCarvelo,VanVan,PublibikeetIWG.

DĂ©couvrir de nouvelles offres

Grâce Ă  des rabais attrayants, l’occasion est maintenant particulièrement belle pour les clientes et clients Mobility de dĂ©couvrir le beau et nouveau monde du partage de Mobility et de se muer dĂ©finitivement en homo sharus. 

Jette un coup d’œil et laisse-toi inspirer. Peut-être que de toutes nouvelles possibilités s’ouvriront à toi aussi pour que tu puisses à l’avenir combiner ta mobilité et ton travail de manière encore plus variée et flexible.

EN SAVOIR PLUS

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