Denise Gfeller
50 ans, Zurich, membre de Mobility depuis 2000

Denise Gfeller a effectué 1’000 trajets avec Mobility: «Tout a commencé par une attaque à main armée!»
Différentes raisons peuvent amener une personne à se séparer de sa voiture et à faire appel à Mobility. Toutefois, rares sont les membres de Mobility à avoir vécu une histoire aussi spectaculaire que celle de Denise Gfeller. «Tout a commencé par une attaque à main armée!», déclare celle-ci en riant. Bien que l’événement remonte à plus de 20 ans, la quinquagénaire se souvient encore parfaitement de la nuit où une demi-douzaine de policiers en tenue d’intervention ont tambouriné à sa porte avant de prendre l’appartement d’assaut – sans même donner à la jeune femme, alors enceinte, le temps de bien se réveiller. Pour quelle raison? Quelques heures à peine avant l’intervention, un hold-up avait eu lieu dans une bijouterie au cœur de Zurich. La voiture utilisée par les malfaiteurs pour s’enfuir avait été identifiée comme étant celle de Denise Gfeller et son conjoint. «Heureusement, les policiers se sont vite rendu compte que nous ne pouvions être les auteurs du délit.» Comme les Gfeller avaient garé leur voiture en zone bleue et ne l’avaient plus utilisée depuis un certain temps, ils n’avaient pas remarqué que leur VW Golf avait été volée quelques jours auparavant – raison pour laquelle la police n’en avait pas été informée.
Elle a effectué son 1’000e trajet avec Mobility ce printemps
Il n’était pas rare que leur véhicule stationne au même endroit pendant une période prolongée. «Nous avions acheté la voiture bon marché – mais n’avons pas tardé à constater que nous n’en avions, en fait, pas besoin.» Cet événement mémorable a été l’occasion «idéale» de se séparer définitivement de leur voiture privée. Denise Gfeller n’a jamais regretté sa décision. Au contraire: elle a réalisé son 1’000e trajet avec Mobility il y a quelques semaines. «Le grand avantage de Mobility? On a toujours exactement le véhicule dont a besoin, au moment où on en a besoin, que ce soit pour faire les courses, pour déménager ou pour transporter des choses.»
Pas d’entretien, pas de nettoyage, pas de pneus à changer: «Le luxe!»
Denise Gfeller aime aussi utiliser la voiture Mobility lorsqu’elle se rend le soir à des manifestations en dehors de la ville. «C’est une solution pratique et confortable pour revenir même des villages les plus éloignés.» L’adhésion est également intéressante du point de vue financier, souligne-t-elle. «Toutefois, cela ne s’arrête pas là .» Elle trouve également appréciable de n’avoir à s’occuper de rien, qu’il s’agisse de l’entretien, du nettoyage ou des changements de pneus. «Le luxe!», déclare Gfeller, pour qui l’utilité d’une voiture se résume à une chose: «Je veux me rendre d’un endroit à l’autre. Le reste ne m’intéresse pas.» C’était déjà le cas avant la descente de police et celle-ci l’a confortée dans son opinion.
Quirin Keeris
49 ans, Zurich, membre depuis 2002

«Autrefois, il arrivait régulièrement que le réservoir soit presque vide»
Comme il le dit lui-même, Quirin Keeris ne se qualifierait pas forcément d’«utilisateur intensif» de Mobility. «Il m’arrive de ne pas recourir à Mobility pendant six mois – et puis de l’utiliser plusieurs fois en un mois.» Et c’est précisément cette flexibilité qu’il apprécie tout particulièrement. «Il est rassurant de savoir qu’on peut toujours disposer d’une voiture en cas de besoin.» Et de fait, ces dernières années, il est déjà arrivé à Keeris de réserver une voiture Mobility à la dernière seconde pour conduire une personne aux urgences pendant la nuit.
Un «tas de miettes» sur le siège arrière
Quirin Keeris a opté pour un abonnement Mobility dès sa jeunesse. Il a suivi avec intérêt le développement de l’entreprise. «L’offre s’est considérablement améliorée ces vingt dernières années», souligne-t-il. Particulièrement en ce qui concerne la propreté et l’état général des véhicules. «Les premières années, il pouvait arriver que le ‹tas de miettes› laissé par la famille précédente se trouve encore sur le siège arrière», dit Keeris en riant. «Et il arrivait régulièrement que le réservoir soit presque vide.» Ce n’est plus le cas aujourd’hui.
La voiture adéquate en seulement quelques étapes
Quirin Keeris vit à proximité du stade du Letzigrund, au cœur de Zurich. «Il y a des emplacements Mobility tout autour de chez moi – je suis encerclé», dit-il en riant. Qu’il s’agisse d’une compacte, d’un combi ou d’un utilitaire, il y a toujours un véhicule adéquat à quelques pas. Aujourd’hui âgé de 49 ans, ce sociétaire de longue date n’a donc aucune raison de résilier son abonnement. «Pour moi, Mobility est et reste la meilleure solution pour remplacer la voiture privée.»
Il se réjouit d’utiliser la flotte électrique
Keeris apprécie tout particulièrement l’offre Mobility One-Way. Ce mode de circulation permet de se rendre d’un emplacement Mobility A à un emplacement Mobility B, où on laisse le véhicule. «Je suis tout à fait prêt à payer un peu plus pour bénéficier de cette option.» Keeris espère que Mobililty restera innovante à l’avenir également. «Par exemple, j’attends avec impatience l’arrivée de la flotte électrique.»
Yvonne Pirchl
53 ans, Feldmeilen, membre de Mobility depuis 1997

Elle est l’une des pionnières du car sharing
Yvonne et Peter Pirchl-Zaugg se partageaient déjà des voitures bien avant que l’expression «car sharing» soit connue du grand public. Nous sommes au début des années nonante: Yvonne et son ami de l’époque, qui est aujourd’hui son époux, étudient la géographie à l’Université de Zurich et vivent dans le quartier de Höngg. Même si la grande ville dispose d’un bon réseau de transport public, tous deux pensent qu’il serait pratique de pouvoir utiliser une voiture de temps à autre. Par conséquent, lorsqu’ils découvrent un article concernant la plateforme de car sharing ShareCom dans un journal local, ils n’hésitent pas longtemps. «Nous avons adhéré à la coopérative, ce qui nous a permis d’accéder à une flotte de véhicules toujours plus importante – un privilège. Et ce, alors que nous n’aurions jamais pu financer une voiture privée.» Ce que personne ne savait à l’époque, c’est que ShareCom allait bientôt fusionner avec la coopérative ATG AutoTeilet de Stans pour former Mobility en 1997.
«Pour les petits trajets, j’utilise Mobility»
Aujourd’hui, le couple possède sa propre voiture mais est toujours membre de Mobility. «Comme le réseau de véhicules n’a cessé de se développer au fil des ans, l’offre est plus intéressante que jamais», souligne Yvonne Pirchl-Zaugg, qui travaille à l’Institut de l’environnement et des ressources naturelles de l’Université des sciences appliquées de Zurich. C’est pourquoi le couple fait aujourd’hui encore appel à Mobility pour les déménagements ou d’autres activités de transport. Il leur arrive également d’utiliser les véhicules Mobility pendant leurs loisirs, notamment pour atteindre leur destination finale après avoir effectué un long trajet en train. «Mobility est la solution idéale pour les petits trajets une fois sur place.»
Actuellement, la famille Pirchl possède encore une voiture. Toutefois, Yvonne Pirchl-Zaugg pourrait concevoir de réaliser tous ses déplacements avec Mobility lorsque les quatre enfants auront quitté le nid. Pour elle, une chose est claire: «Le car sharing, c’est pour la vie!»
Luzius Gschwind
46 ans, Lupsingen, sociétaire Mobility depuis 1999

Le permis de conduire grâce à Mobility
Luzius Gschwind a trouvé dès le départ que l’idée de Mobility était bonne. «Quand on a besoin d’une voiture, on peut réserver très rapidement un véhicule Mobility adéquat. Et quand on n’en a pas besoin, on n’a pas à s’en occuper.» Architecte paysagiste, Luzius Gschwind est devenu membre de la coopérative dès sa jeunesse, peu après sa spécialisation. Une des raisons pour lesquelles il a fait ce choix est que ses parents possédaient une voiture automatique. C’est pourquoi Gschwind a utilisé les voitures Mobility pour se préparer au permis de conduire. «De la sorte, on apprend dès le début à conduire différentes voitures.» L’investissement en valait la peine: Gschwind a réussi l’examen pratique du premier coup.
Un utilitaire Mobility chargé jusqu’au plafond
Gschwind a continué d’utiliser Mobility par la suite, notamment lorsqu’il est retourné habiter à Bâle après ses études. «J’ai vidé ma chambre de colocation, chargé la Renault Trafic de Mobility jusqu’au plafond et je suis parti.» D’une manière générale, Luzius Gschwind fait souvent appel à Mobility quand il a besoin d’un utilitaire. «C’est vraiment pratique que Mobility propose des véhicules adaptés à tous les besoins et toutes les situations.»
Lorsque Luzius Gschwind et son épouse ont eu des enfants, ils ont sciemment renoncé à une seconde voiture. «Autrefois, il y avait un emplacement Mobility dans notre village. C’est une chose que nous apprécions.» Aujourd’hui, l’emplacement de Lupsingen n’existe plus et Gschwind le regrette. C’est également la raison pour laquelle il n’utilise plus Mobility que rarement. «Je suis resté membre malgré tout, par conviction. Je trouve que Mobility est une bonne chose et je lui souhaite beaucoup de succès à l’avenir également. Et ce, non seulement à la ville, mais aussi à la campagne. Pour que ce soit possible, il faut qu’elle continue à développer son offre dans le futur aussi.»
Commentaires
Dans un prochain article, il serait sympathique de donner aussi la parole Ă des romands ou Ă des tessinois.